Dans le cadre de la création de La Maison du logiciel libre (ML2), la Ville de Montréal a accordé une contribution financière de 25 000 $ à l’École de technologie supérieure (ÉTS).
Grâce à ML2 les étudiants des universités montréalaises provenant de différents horizons et possédant des expériences académiques et professionnelles variées, pourront prendre part activement à une multitude de projets de logiciel libre.
Il entend ainsi devenir un incubateur de talents et un trait d’union incontournable entre les étudiants de la formation en génie logiciel et les entreprises de cette industrie.
Le financement des projets est, pour le moment, assuré au moyen du financement de stages coopératifs.
Notons que ML2 a déjà trente projets en cours de réalisation au moment d’écrire ces lignes.
La Ville pourrait avoir de l’intérêt pour certains d’entre eux, notamment à l’égard d’une solution de commerce électronique de même qu’à une solution de gestion des relations avec les clientèles (CRM).
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Photos : La Maison du logiciel libre
En complément :
- La Maison du logiciel libre, est située au rez-de-chaussée du Pavillon A de l’ÉTS, au 1100, rue Notre-Dame Ouest.
- Inaugurée en décembre dernier à l’ÉTS, au cœur du Quartier de l’innovation (QI), ML2 propose un lieu de rencontres et de partages.
- ML2 c’est en ce moment (mars 2016) 215 étudiants enregistrés, 30 projets actifs et 133 missions disponibles.
Ce qu’ils ont dit :
« La Ville de Montréal est fière de s’associer à titre de partenaire fondateur, à l’instar de Google et de Savoir-faire Linux, à la création de ML2, la première Maison du logiciel libre. En plus de soutenir le plan stratégique de la Ville intelligente et numérique, le soutien financier accordé accordera une visibilité internationale à la Ville, tout en soulignant l’importance que celle-ci accorde à sa stratégie Montréal, Ville Intelligente et Numérique. Dans le contexte du virage numérique que la Ville a entrepris, de nombreux projets réalisés en collaboration avec ML2 pourraient voir le jour. On peut penser par exemple aux applications mobiles, aux senseurs en informatique libre, ou encore à l’implantation d’infrastructures-serveur basées sur des outils libres. »
Harout Chitilian, vice-président du comité exécutif et responsable des technologies de l’information, de la Ville intelligente, ainsi que de la réforme administrative
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